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Cour Européenne des Droits de l'Homme

La pratique scandaleuse des assureurs doit être dénoncée !

Les assurances, bien qu’elles doivent combattre les escrocs,
pictogram-din-w000-generalne doivent pas elles-mêmes le devenirpictogram-din-w000-general en se soustrayant à leurs responsabilités face à des lésés honnêtes

Ne baissez pas les bras !
Faites valoir vos droits !

Depuis trop longtemps, les assureurs jonglent avec les lois et profitent de flous juridiques pour écraser des lésés de bonne foi qui deviennent des victimes du système.

Le temps est venu de réagir. Grâce à cette initiative, nous pourrons nous faire entendre et avec l’union de plusieurs témoignages, nous arriverons à faire changer les choses.

Bien que ne pesant d’aucun poids face aux géants de l’assurance, ne nous laissons pas écraser. Réagissons et ayons le courage de reprendre nos droits. Dénonçons les pratiques tendancieuses utilisées par les assureurs. Ils n’ont pas le droit de mettre tout le monde dans le même panier, sans faire la distinction entre fraudeurs et victimes véritables.

Sachez qu’il n’est jamais trop tard ! Nous le devons non seulement à nous-mêmes et à nos familles mais aussi aux générations futures. Nous avons le devoir de montrer à la population les manigances existantes entre assureurs.

Ces agissements des assureurs, que peu connaissent, peuvent frapper tout le monde. Soyons courageux et unissons-nous pour faire bouger les choses !

Afin de récolter le plus grand nombre de témoignages, si vous estimez être victime d’une décision injuste, n’hésitez pas à nous contacter à travers ce site ou par téléphone.

Si nous sommes nombreux et échangeons nos expériences, nos témoignage seront notre force.

Ce site n’a aucun but lucratif et cette démarche est totalement gratuite.

 

 

L'union des lésés honnêtes fera la force face aux assurances agissant de manière malhonnête

Méfiez-vous

En cas d’accident, l’assureur RC du fautif essaye souvent de vous contacter dans le but de vous proposer une indemnité pour tous les effets abîmés dans l’accident ce qui est noble et parfaitement juste. Mais attention car son but est un autre.

Les assureurs insinuent qu’ils sont là pour vous aider dans vos démarches et vous disent de ne pas vous inquiéter car l’assurance prendra tout en charge. Cependant, après avoir analysé la gravité de votre situation, il se peut qu’ils vous adressent une proposition, souvent une somme d’argent alléchante, en échange de votre renonciation à toutes prétentions futures.

Ceci est une pratique usuelle chez les assureurs pour liquider à peu de frais des cas qui, selon leur expérience s’avèrent bien plus importants avec le temps. Les lésés ne savent pas toujours que les conséquences d’un accident se révèlent au fil des ans et ils tombent souvent dans leur piège.

L’assureur essaie de vous convaincre d’accepter sa convention de liquidation bien qu’il ne connaissaient pas encore l’ampleur des vos blessures. Méfiez-vous !

 

 

 

 

L'abus de pouvoir des assureurs doit être mieux encadré par la loi

But du site

Les suites d’un banal accident peuvent avoir des conséquences dramatiques que l’on ne soupçonne même pas. Il est possible de se retrouver sans aucune ressource financière malgré le complexe système social qui est censé protéger les victimes et leurs familles.

En plus de la détresse physique, souvent viennent s’ajouter des prises de position de la part des assureurs sociaux et privés qu’il est difficile de comprendre et qui défendent surtout leurs intérêts. Il en résulte que leur principal souci est celui de payer le moins possible, même en bafouant les droits des victimes. Tout ceci en s’appuyant sur des arguments scientifiques compliqués (rapports et imageries médicaux) qu’il n’est pas possible de comprendre pour un non initié. Dans ces circonstances et surtout si l’imagerie médicale donne raison au patient, parfois les experts des assureurs n’hésitent pas à trouver des arguments médicaux tendancieux au prix de contredire les même rapports d’imagerie médicale ainsi que les conclusions de leurs confrères qu’ils ont eux-mêmes désignés. De plus, lorsqu’un deuxième avis est demandé par le patient, il n’est pas rare d’avoir une conclusion complètement différente en faveur de l’assuré.

Pourtant le mécanisme utilisé par les assureurs pour arrêter de prendre en charge un cas est connu et souvent le même. Par exemple, suite à un accident, l’assureur fera tout pour se décharger du cas par des expertises « opaques » en décrétant que l’accident s’est désormais transformé en maladie. Il n’est pas rare de lire dans les rapports médicaux qu’un « status quo ante et sine » a été établi, mais souvent de manière très arbitraire et tendancieuse en sous-entendant qu’à partir d’un moment donné le problème se serait manifesté même sans l’accident en question. Les experts désignés par l’assureur ou leurs médecins conseils n’hésitent pas à évoquer des symptômes imaginaires préexistants bien que le patient n’ait jamais eu précédemment ces problèmes. De plus, cette situation est généralement contredite par le médecin de famille, qui connaît bien mieux l’historique du patient. En attendant, l’assureur s’est débarrassé du cas. Charge à la victime de relancer une procédure juridique à ses frais, à l’aide d’un avocat, pour démontrer sa bonne foi.

Que se passe-t-il avec les personnes qui n’ont pas de protection juridique ou de moyens financiers ? Que dire des victimes qui n’ont plus la force et le courage de se battre ? Dans beaucoup de cas cela désoriente et débouche sur des conséquences encore plus néfastes, comme des dépressions, des tensions en famille et même des tentatives de suicide.

L’expérience montre qu’il ne faut jamais baisser les bras. La pratique scandaleuse des assureurs doit être dénoncée ! Il faut tout faire pour se défendre et ne pas hésiter à faire des contre-expertises. Avec l’aide d’un avocat, il est possible de mettre davantage de chances de son côté.

Sur ce site vous trouverez des témoignages de cas réels démontrant les failles du système et les mécanismes pernicieux et abusifs des assureurs sociaux et privés. Si vous le désirez, votre propre témoignage ou celui d’un proche que vous voulez aider, sera le bienvenu et contribuera à faire bouger cette situation inacceptable.

N’hésitez pas à nous contacter !

 

 

 

 

"La peur se gagne, le courage aussi"

 

 

 

 

« Tu ne peux rien contre la puissance des assureurs » C’est lorsque vous pensez avoir perdu contre ces sociétés qu’il est temps de vous défendre avec encore plus de détermination pour dénoncer leurs pratiques ignobles qui passent souvent inaperçues !

 

 

 

Les manigances des assureurs !

Il est absolument normal que les assureurs traquent les assurés qui trichent sur leur état de santé et qui profitent du système. Ces individus pénalisent l’ensemble des assurés. Toutefois, ce qui est désolant, c’est que les assureurs ont tendance à mettre tous les lésés dans le même panier.

Si tu as été victime d’un accident, que tu en souffres, que tu fais ton possible pour retourner au travail, l’assureur de son côté te considère déjà comme un vulgaire profiteur qui veut vivre aux crochets de la société.

Dans un délai de 2 ans au maximum, suite à un accident avec des séquelles graves, l’assureur est déjà persuadé que le blessé fait du cinéma malgré le fait que les examens médicaux de diverses natures attestent sa bonne foi. Comme si cela ne suffisait pas, les assureurs organisent des expertises ou contre-expertises en imposant un ou plusieurs médecins au choix qui sont présentés comme « neutres ». Mais en réalité ces derniers sont complètement à la solde des assureurs. Parfois, comme j’ai pu le constater dans mon cas, ces médecins soi-disant « neutres » sont regroupés auprès du même centre médical.

Profitant d’un flou juridique, il n’est pas rare que les assureurs fassent appel à des détectives privés qui vous épient et remettent des rapports très visiblement altérés qui contredisent même leurs propres photos ou vidéos dans le but de correspondre aux souhaits des assureurs. La pose d’une puce GPS sur le véhicule de la personne suivie semble être une pratique courante malgré le fait que cet acte soit illicite.

Ceci est illustré de manière évidente par un très récent arrêt de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) du 18 octobre 2016 pour un cas qui s’est passé en Suisse. (Link des «exposé des faits»). La Cour s’est prononcée à propos de la surveillance illicite à l’égard d’une femme, de nationalité suisse, qui a été épiée sur demande de son assureur (Link des documents en PDF d’arrêts et décisions 18-20.10.16). Suite à un accident de la route, cette femme était au bénéfice d’une rente d’invalidité. Quelques années plus tard son assureur a voulu remettre en question la rente. Le recours à la pratique illicite de l’espionnage et le rapport qui s’en est suivi par l’expert de l’assureur a abouti, comme par hasard, à la conclusion que l’invalidité n’était plus que de 10%. Le recours de la femme contre cette décision a été rejeté. Ne se laissant pas faire, cette personne a fait appel de son cas auprès de la CEDH à Strasbourg. Le 18 octobre 2016 la CEDH donne raison à la plaignante et condamne la Suisse à lui verser des indemnités pour frais et tort moraux. Raison pour laquelle, le lendemain de cet arrêt, la SUVA a annoncé renoncer, avec effet immédiat, à faire appel aux services de détectives.

 

 

 

Les assureurs ont tendance à mettre tous les lésés dans le même panier

 

 

 

Méfiez-vous des assureurs, qui viennent à vous en vêtements de brebis mais qui au-dedans, sont des loups rapaces

Cette pratique des assureurs accidents est usuelle. Il faudrait changer quelque chose dans la loi au sujet de la définition de la notion d’accident. Il n’est pas normal qu’un assuré ayant subi un accident et supportant des séquelles pendant plusieurs années, voire à vie, se s’entende dire que les conséquences de l’accident se sont transformées en maladie, ou pire, n’existent plus malgré leur présence attestée.

Cette manière de faire met des familles dans la détresse totale et déplace la charge financière sur la communauté (assistance sociale, Hospice général et autres aides) alors que ces assureurs ont encaissé des primes pour couvrir les accidents et leur conséquences. Sans compter le fait qu’avant d’en arriver à ces aides, il faut se démunir de pratiquement tout ce qu’une famille a réussi à construire avec effort pendant plusieurs décennies. Cet état de fait pèse sur l’ensemble de la famille, qui vit extrêmement mal cette situation, et se traduit par de fortes tensions, de mauvais résultats à l’école, un état dépressif, des insomnies, une détresse absolue, conséquences qui poussent même parfois certains au suicide.

Grâce à l’implication et au soutien de notre entourage, nous sommes prêts à nous investir pour faire changer les choses. Nous serions très intéressés à récolter des témoignages de personnes ayant fait l’objet de décisions scandaleuses de la part de leur assureur qui a tout mis en œuvre pour se soustraire à ses obligations. Trop de personnes ne trouvent pas la force ou n’ont pas les moyens de dénoncer et de s’opposer à ces agissements que peu connaissent et dont chacun (ou tout le monde) peut être la victime.

Ce site internet « www.vdas.ch » permet non seulement de partager ces expériences mais aussi de nous unir afin de nous défendre. Cette situation concerne d’innombrables personnes en Suisse, victimes d’accidents. Il est nécessaire que tout le monde sache le risque qu’il encourt en cas de coups du sort dans la vie.

Sachez qu’il n’est jamais trop tard pour agir ! Nous le devons non seulement à nous-mêmes et à nos familles mais aussi aux générations à venir. Nous avons le devoir de montrer à la population les manigances existantes entre les assureurs.

N’hésitez pas à nous contacter !

Victime R. C.

Mon expérience

L’Accident

Je suis un homme suisse de 54 ans marié depuis 35 ans et j’ai 2 filles de 22 et 18 ans en apprentissage et qui vivent à la maison.

A l’âge de 39 ans, en me rendant au travail en scooter le matin du 1er novembre 2000, une camionnette, en faisant une manœuvre interdite, me coupe la route et me fait chuter. Le conducteur de cette camionnette a pris la fuite et ce n’est que grâce à l’intervention d’un autre scootériste, témoin de l’accident et qui est intervenu pour arrêter la camionnette, que le chauffard a été intercepté.

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